Notre approche de la valorisation financière
Depuis 2019, nous développons des parcours pédagogiques qui transforment la manière dont les professionnels abordent l'évaluation d'entreprise. Pas de formules magiques – juste une méthodologie solide et des cas pratiques tirés du terrain.
Ce qui guide notre enseignement
Pragmatisme avant tout
On évite la théorie pure. Chaque module s'appuie sur des situations réelles qu'on a rencontrées lors d'audits ou d'évaluations de PME. Les modèles de DCF, c'est bien dans les manuels – mais savoir les adapter quand les données manquent, c'est une autre histoire.
Transparence totale
Nos formateurs partagent leurs erreurs autant que leurs réussites. On montre comment une valorisation peut diverger selon les hypothèses retenues, et pourquoi le jugement professionnel reste central même avec les meilleurs outils.
Progression maîtrisée
Personne ne devient expert en six semaines. Nos programmes s'étalent sur plusieurs mois parce qu'intégrer les méthodes comparatives, les approches patrimoniales et les techniques de multiples prend du temps. On construit les compétences brique par brique.
Comment se déroule l'apprentissage
Notre parcours s'articule autour de quatre phases complémentaires. Chacune apporte des outils concrets et développe une compétence spécifique en analyse financière.
Fondamentaux financiers
Les deux premiers mois couvrent l'analyse des états financiers, la normalisation des bilans et l'identification des retraitements nécessaires. On décortique des comptes réels d'entreprises françaises pour comprendre ce qui se cache derrière les chiffres officiels.
Méthodes de valorisation
Entre le troisième et le cinquième mois, on explore les approches patrimoniales, comparatives et par les flux. Chaque méthode est appliquée sur plusieurs secteurs d'activité pour en comprendre les limites et les zones de pertinence.
Modélisation avancée
Les mois six à huit se concentrent sur la construction de modèles financiers robustes. On travaille sur Excel avec des projections de trésorerie, des analyses de sensibilité et la détermination du coût du capital selon différents profils de risque.
Mise en situation professionnelle
Les trois derniers mois sont consacrés à un projet de valorisation complet. Chaque participant choisit une entreprise cotée ou une PME, collecte les données, applique plusieurs méthodes et rédige un rapport de synthèse défendable devant un jury de professionnels.
Notre méthode pédagogique en pratique
Cas réels analysés
On dissèque des dossiers authentiques avec leurs ambiguïtés. Un restaurant qui veut se valoriser avant cession, une startup tech sans historique de rentabilité, une PME industrielle avec actifs spécifiques – autant de contextes qui demandent des approches différentes.
Ateliers pratiques
Deux fois par mois, on se retrouve en petits groupes pour construire des modèles financiers. Pas de présentation magistrale – on code directement dans Excel, on débat des hypothèses et on compare les résultats obtenus par chaque participant.
Accompagnement personnalisé
Chaque apprenant bénéficie de trois sessions individuelles avec un formateur. L'occasion de creuser les points de blocage, de revoir certains calculs ou d'adapter le rythme selon les contraintes professionnelles de chacun.
Qui anime ces formations
Nos intervenants exercent tous une activité professionnelle parallèle en audit, conseil ou direction financière. Ils apportent une vision terrain qui complète les aspects méthodologiques.
Léonie Beaufort
Responsable pédagogique
Après quinze ans en cabinet d'audit puis en direction financière d'un groupe industriel, Léonie a rejoint mavorehylix en 2022. Elle coordonne les programmes et veille à ce que chaque module reste ancré dans la réalité des pratiques professionnelles actuelles. Son approche : zéro jargon inutile, maximum de cas concrets.
Questions fréquentes
Avant de commencer
Faut-il déjà travailler en finance pour suivre la formation ?
Pas nécessairement. On demande une base en comptabilité – savoir lire un bilan et un compte de résultat suffit. Le reste s'apprend progressivement. Certains participants viennent du contrôle de gestion, d'autres de l'analyse crédit ou même du juridique.
Combien d'heures par semaine faut-il prévoir ?
Entre 8 et 12 heures en moyenne. Ça inclut les sessions en ligne, les exercices pratiques et le travail personnel sur les cas. On recommande de bloquer deux soirées et un samedi matin chaque semaine pour avancer sereinement.
Pendant le programme
Peut-on adapter le rythme selon ses contraintes pro ?
Oui, dans une certaine mesure. Le programme s'étale sur onze mois justement pour laisser de la souplesse. Si vous avez une période chargée, on peut décaler certaines échéances – mais il faut maintenir une régularité minimale pour ne pas perdre le fil.
Les supports de cours restent-ils accessibles après ?
Tous les documents, modèles Excel et enregistrements de sessions restent disponibles pendant deux ans après la fin du programme. Pratique quand on a besoin de revoir une méthode spécifique en situation professionnelle.
Après la formation
Que deviennent les anciens participants ?
Beaucoup continuent leur activité avec des compétences élargies. Certains ont évolué vers des postes en M&A, d'autres se sont spécialisés en évaluation d'entreprise au sein de leur cabinet. On ne garantit aucun débouché spécifique – mais on constate que ces compétences ouvrent des portes.
Peut-on revenir pour des mises à jour ?
On organise des sessions de perfectionnement deux fois par an sur des thématiques précises – nouvelles normes, évolutions réglementaires, techniques émergentes. Les anciens participants bénéficient d'un tarif préférentiel pour y participer.